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Critique de "Médée"

Publié le par prof. documentaliste

Critique de "Médée"
Publié par Albertine, collège Valmy

J’ai apprécié ce livre car j’aime le personnage de Médée, son esprit rebelle, sa curiosité et sa passion pour l’aventure… J’ai remarqué que les couleurs des illustrations variaient selon son humeur. Le vert, couleur de la nature et de la joie, est employé lorsque Médée est heureuse. Un rouge orangé effrayant et mystérieux évoque des épisodes inquiétants et tristes. Le lecteur attend alors avec une certaine angoisse de lire la suite.... J’aime ces illustrations colorées. J’ai trouvé l’histoire entraînante. Elle emmène le lecteur dans une autre époque. On découvre à travers une bande dessinée la vie d’une jeune princesse insoumise, refusant d’obéir aux règles.

Publié par Lola, 5ème - collège Valmy

Cette BD a pour thème la mythologie grecque. Le personnage principal est Médée dont on suit l'évolution durant plusieurs années au royaume de Colchique. C'est la fille du roi de la cité. Elle voudrait avoir les même activités que les garçons mais son père refuse et elle doit rester au palais avec son frère malade. Celui-ci est l'héritier et le roi veut tout faire pour le soigner. Cette lourde tache incombe à Médée qui va être initiée aux mystères de la magicienne Hécate.

J'ai bien aimé l'histoire mais le début n'est pas très facile à comprendre. Les dessins sont très beaux et expressifs. J'ai bien aimé Médée car on la voit grandir au fil du temps. J'ai bien aimé son côté garçon manqué. Je me suis inquiétée pour Absytos tout au long de ce premier tome et j'ai éprouvé de la tristesse pour les cousins de Médée à la fin. Je n'ai pas eu de grande difficulté avec la langue à part avec les noms des personnages. Je ne m'attendais pas vraiment à la fin.

Publié par Adèle, 5ème - collège Valmy

J’ai apprécié ce livre car les dessins sont très beaux avec beaucoup de couleurs. Les couleurs sombres représentent l’angoisse, les couleurs claires la joie. Le père de Médée est vêtu d’une longue robe rouge et a un visage expressif, ce qui donne à ce dernier un air inquiétant. Je n’ai pas beaucoup aimé la fin car elle était ouverte. J’aurais préféré une fin claire et précise.

"Le bus de Rosa"

Publié le par prof. documentaliste

Par Samuel, Collège Valmy

Par Samuel, Collège Valmy

J'ai vraiment bien aimé cet album par ses images, et l'histoire qui se dessine à travers elles. Les images sont en plongée, lorsque le personnage est dominé par ce qui l'entoure, ou en contre-plongée, lorsque le personnage domine la situation. Certaines illustrations s'étalent sur une double page. Elles expriment l'importance de l'action. Le dessin nous donne l'impression d'être dans les années 50, il est souvent en noir et blanc, et on voit des sortes de points noirs, pour faire comme la télévision à cette époque. Parfois, le texte est très grand car ce qui est dit est important. J'ai globalement bien aimé ce livre, si ce n'est que l'histoire de Jérémy m'a fait mal à la jambe (je vous promets que c'est vrai) et que le style de dessin ne me correspond pas. L'histoire est intéressante, bien racontée, et l'on a l'impression de la vivre.

Antonin, clg Valmy

Le livre parle du racisme. J'ai appris que Rosa, l'héroïne de l'histoire a été défendue par à un pasteur appelé Martin Luther King. Elle ne s'est jamais soumise et, après son coup d'éclat dans le bus, la cour suprême des États-Unis à déclaré illégale la ségrégation raciale dans les transports. Elle avait fait une action incroyable qui a changé l’Amérique. Ce n’était donc pas les muscles qui comptaient ni la force. Ce qui avait compté, c’était sa détermination et son courage. Ce qui avait compté, c’était de vaincre sa peur et d'avoir conscience d'agir pour une cause juste.

Critique de Médée

Publié le par prof. documentaliste

Par Antonin, élève au collège Valmy

Par Antonin, élève au collège Valmy

Critique du roman "On est tous faits de molécules"

Publié le par prof. documentaliste

Critique du roman "On est tous faits de molécules"
Publié par Félixfantasio, collège Valmy

Stewart, 13 ans, est surdoué. Il a perdu sa mère depuis deux ans quand son père décide d'emménager avec une nouvelle femme :Caroline, et sa fille Ashley, qui se préoccupe beaucoup de son look pour rester en haut de "l'échelle sociale" de son collège. Mais quand cette dernière apprend que le "nabot monstroïde" arrive dans son collège, elle déclare la guerre à sa nouvelle famille. Et les choses ne s'arrangent pas quand elle apprend que son père est devenu homosexuel. Ashley et Stewart vont ils réussir à se rapprocher au fil du temps ?

Un très bon roman qui aborde différents thèmes comme le lien familial et l'homosexualité. Les personnages principaux sont drôles et attachants mais malheureusement trop caricaturaux. La narration alternée ne pose pas de problème, au contraire. Elle permet d'avoir le point de vue des deux personnages principaux sur le même évènement, sur la même personne. De plus, Susin Nielsen écrit très bien. Le lecteur ne s'ennuie pas une seconde ! Je vous conseille vivement ce roman.

Publié par Thomas, collège Valmy

J’ai adoré ce roman car il est écrit avec humour. J’aime le personnage d’Ashley car je trouve qu’il donne du piment au roman. Par contre je trouve Stewart ennuyeux et un peu trop gentil. Ce livre est facile à lire mais quand Stewart nous explique des choses, je ne comprends rien.

Publié par cléo.p, collège Valmy

J'ai beaucoup aimé ce livre car on suit l'évolution des personnages, leurs relations, leur personnalité, leurs amitiés.... A l'inverse de Stewart, Ashley ne fait aucun effort pour se montrer sympathique. Plus le roman avance, plus elle s'adoucit, cela est sûrement dû au fait que Stewart ne s'intéresse plus à elle.... Malgré ses colères contre sa sœur, Stewart l'aide à s'en sortir et cela m'a beaucoup plu. On retrouve cette complicité « frère et sœur ». Pendant tout le livre je cherchais pourquoi le livre s'intitulait "On est tous faits de molécules", on finit par le comprendre et c'est très bien trouvé ! Ce livre est facile à lire car ce sont des enfants qui narrent l'histoire. C'est vraiment un coup de cœur, j'étais triste quand je l'ai fini!

Publié par Albertine, collège Valmy

Ce roman raconte l'histoire d'un garçon nommé Stewart qui a perdu sa mère et qui emménage dans une nouvelle maison très différente de la sienne.
Cette maison appartient à la nouvelle compagne de Léonard, le père de Stewart. Celle-ci prénommée Caroline a une fille, Ashley, que TOUT oppose à Stewart...Vont-ils réussir à cohabiter?? Vont-ils finir par s'entendre?...

J'ai beaucoup aimé ce livre qui, je trouve se lit très facilement. J'ai aimé que Stewart et Ashley aient un chapitre chacun, cela m'a permis d'avoir à chaque fois les deux avis et pensées des personnages. De plus, je suis très vite rentrée dans l'histoire. Le livre était émouvant et il explique les difficultés de la vie à travers une très belle écriture.

Un roman à ne pas rater !!

"Pourquoi les riches sont de plus en plus riches..."

Publié le par prof. documentaliste

"Pourquoi les riches sont de plus en plus riches..."
Publié par Taha, collège Valmy

Ce documentaire explique la vie des riches, comment ils font fructifier leur argent, comment ils s'enrichissent, ce qu'ils font de leur journée. Mais il nous montre surtout qu'on peut changer ce système!

Ce livre m'a beaucoup plu car il m'a permis d'en apprendre plus sur les riches. Les dessins et les jeux de mots m'ont amusé car c'était une manière ludique de comprendre le sujet. Mais j'ai aussi aimé le style de caricature et les couleurs qui m'ont fait réagir. Pour conclure, ce livre est fantastique et je vous le conseille car il vous apprendra beaucoup sur les inégalités entre les riches et les pauvres.

Publié par Adèle, 5ème - collège Valmy

J’ai apprécié ce documentaire car on nous explique beaucoup de choses en très peu de pages. Ce livre nous fait réfléchir. Il est facile à lire avec de courtes définitions pour les mots difficiles. J’ai adoré les caricatures, elles m’ont fait beaucoup rire. Souvent ces caricatures sont présentées en deux parties, l'une avec une famille riche et l'autre avec une famille pauvre. Le livre commence par un poème « Le pélican ». J’ai trouvé ce choix judicieux. J’ai beaucoup aimé rencontrer les auteurs et illustrateurs du livre.

Publié par Roman, 5ème - collège Valmy

J'ai adoré ce documentaire. Il est très simple à comprendre et bien expliqué, très intéressant et aussi très drôle, les dessins sont très bien bien exécutés et illustrent bien le sujet en question. Le vocabulaire complexe est expliqué clairement et bien défini (ex : paradis fiscaux, patrimoine culturel…). La vision des auteurs n'est pas neutre et ils le font savoir. Je pourrais juste reprocher à ce livre d’être trop court!

Dessin réalisé par Virgile, 5ème - collège Valmy

Dessin réalisé par Virgile, 5ème - collège Valmy

A Silent voice

Publié le par prof. documentaliste

A Silent voice

A Silent voice est un shojo manga (manga pour « jeune fille ») de 7 tomes. Aussi appelé « Koe no Katachi » il parut en 2013 au Japon.
Yoshitoki Oima est une très jeune mangaka, elle n'était d'ailleurs pas majeure quand elle remporta un prix pour A Silent voice (19 ans, sachant que la majorité japonaise est à 20 ans), elle n'est dessinatrice que d'un seul autre manga, Mardock Scramble qui est une série en 3 tomes.
J'aime beaucoup le style de l'auteur, très expressif, mais violent et brutal pour son genre. A Silent voice raconte le handicap d'une jeune fille et les réactions des autres face à cela, en allant bien-sûr sur le chemin du harcèlement et de la discrimination.
Bien qu'il soit destiné aux plus jeunes, il convient à mon avis à tous les âges.Le rythme est assez lent. L'auteure fait durer le suspens entre le début du flash back et le moment où on montre le handicap de la jeune fille. Mais étant un shojo et se basant essentiellement sur la réaction (souvent amoureuse dans ce style) ceci est assez récurent. Les personnages et leurs évolutions (surtout vers la fin) sont assez bien construits. Je regrette pourtant l'obstination de la jeune fille que je trouve artificielle. Même si l'histoire se passe au Japon, je pense que c'est un détail mineur et n'influe pas à la compréhension.

Alexiane, élève de 5ème du collège Pierre Mendès France

Critique de l'album : Le bus de Rosa

Publié le par prof. documentaliste

Critique de l'album : Le bus de Rosa

Un jour, le grand-père de Ben l'emmène au musée de l'Histoire de l'Amérique, le "Henry Ford Museum". Il lui montre un vieux bus et lui en raconte l'histoire. Il lui explique que ce bus n'était pas comme les autres. C'était "le Bus de Rosa". Il lui raconte qu'il se trouvait dans ce bus quand une femme, Rosa, est montée et s’est assise. A la station suivante, des hommes blancs sont montés, mais elle a refusé de leur céder la place. Ceci était impensable à l’époque, car les Noirs aux États-Unis étaient discriminés, c’est à dire qu’ils avaient moins de droits que les blancs. C'était la ségrégation. Le grand-père de Ben est resté témoin sans agir, laissant Rosa seule dans sa révolte. A la fin, on aperçoit dans le journal qu'il lit, un homme noir président. On comprend alors l’évolution de la société américaine.

Benjamin, élève au collège Valmy


J'ai beaucoup aimé cet album. J'ai apprécié la nostalgie qui se dégage des illustrations et des personnages. Je me suis mise dans la peau de Rosa en imaginant que j'étais dans le bus. Les dessins sont bien réalisés: le passé, triste, en noir et blanc et le présent en couleurs.

Elisabeth, clg Valmy

J'ai adoré cet album. Pour moi, tout est réussi. Les plans sont très bien cadrés, autant les gros plans sur Rosa (quand elle dit "non") que les grandes plongées. Tout s'accorde à merveille: les images, la couleur, le texte et l'histoire. J'ai trouvé très bien que les mots les plus importants soient en gras. Le noir et le blanc renvoient aux événements passés tandis que la couleur est employée pour le présent. Grâce à cela, j'ai très bien réussi à lire cet album. Enfin, j'ai adoré la fin, avec Ben qui mange une glace et le grand père en train de lire le journal. On remarque que le nouveau président est un noir américain: BARACK OBAMA!

Elliot, clg Valmy

On est tous faits de molécules

Publié le par prof. documentaliste

On est tous faits de molécules

Imaginez que votre mère est morte, que vous allez devoir emménager dans une nouvelle maison, aller dans une nouvelle école. C'est ce que Stewaer va vivre.

La mère de Stewart est décédée deux ans auparavant à cause d'un cancer. Son père Leonard décide de refaire sa vie ; il emménage avec Caroline et sa fille Ashley. Cette dernière n'est pas vraiment contente, surtout que son père a récemment annoncé qu'il était homosexuel. Ashley et Stewart vont devoir cohabiter ensemble et seront dans la même classe. Ashley essaie de cacher que Stewart est son demi-frère. Un jour, Ashley organise une énorme fête mais ça dégénère. Ashley a trop bu, Jared et son ami la déshabillent pour la prendre en photo. Lorsque le père d'Ashley rentre avec son homme, il voit le saccage et la police, il est choqué. Quelques jours plus tard, tout le collège insulte Ashley à propos de son père et de l'acte de Jared. Ashley est plein d'autres élèves décident de créer une bande de gardes du corps appelés "On est tous faits de molécules" pour protéger Stewart de Jared lors d'une bagarre pendant le cours de sport.

J'ai bien aimé ce livre car il est intéressant et facile à lire. Le vocabulaire n'est pas compliqué. J'ai bien aimé le fait qu'il y ait une alternance entre le récit de Stewart complètement opposé à celui d'Ashley, on voit le point de vue de chacun. On peut se mettre dans la peau des personnages car ils ont notre âge.

Un roman intéressant qui parvient à aborder avec humour le fait de perdre un proche.

Hélène, collège Henri Matisse

Critique du manga A Silent voice

Publié le par prof. documentaliste

Critique du manga A Silent voice

"Ceux qui n'ont pas vraiment souffert ignorent la valeur de la tolérance." Cette vérité universelle que nous rapportent ces paroles d'un auteur inconnu retrouve son écho même dans le monde de jeunes écoliers.

C'est l'histoire de Shoya Ishida, un élève de CM2, qui mène une vie ordinaire. Un jour, une nouvelle arrive dans sa classe. Elle se prénomme Shoko Nishimiya. Au premier coup d'œil, c'est une fille comme tant d'autres mais elle souffre d'un handicap : elle est sourde. Et c'est cette invalidité qui perturbera l'existence tranquille de Shoya, à tel point que celui-ci deviendra odieux et péniblement injuste envers Shoko.

La lecture de cette bande dessinée, du fait de son format, a été très agréable. Bien que cette histoire paraisse simple, elle fut parlante et j'ai beaucoup apprécié. L'histoire prenante, les personnages attachants et le sujet important ont créé un ton captivant et provoqué une réflexion profonde sur nos actions et leurs conséquences. Formidable leçon de tolérance !

Sophie, élève du collège Henri Matisse

Les élèves du collège Henri Matisse s'expriment sur la rencontre du 22 mars

Publié le par prof. documentaliste

Les élèves du collège Henri Matisse s'expriment sur la rencontre du 22 mars

Rencontre avec les auteurs de "Pourquoi les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres" - Médiathèque M. Duras, Paris

  • Ce qu'on a retenu...

Être sociologue, c'est étudier les pensées de certaines personnes, se pencher sur les problèmes de la société, les différences de richesse entre les classes sociales, les différences dans l'éducation et la culture. C'est un métier, on est chercheur en sociologie.

Ils appartiennent à la classe moyenne-supérieure.
Ils ne viennent pas de familles fortunées.

L'illustrateur nous a dit que les dessins dans la presse disparaissent car il y a de moins en moins de journaux et peut-être que certains illustrateurs se censurent.

Si les plus riches de France payaient les impôts qu'ils ne paient pas grâce aux « Paradis fiscaux » ( « niches fiscales), cela équivaudrait environ à 80 milliards, c'est à dire le déficit au ministère de Bercy.

Les riches s'unissent, s'entraident alors que les classes moyennes et populaires ne s'entraident pas.

La difficulté pour eux d'étudier les riches a été de rentrer dans ces milieux car les riches ne se mélangent pas.

Ils nous ont dit ça parce que nous, on va grandir dans ces inégalités et ces injustices. Quand les hommes politiques eux même donnent le mauvais exemple, cela enlève tout espoir : les principes s'appliquent à tous.

Il faut donc s'unir. Ne pas perdre espoir, se cultiver. S'informer.

  • Remarques...

On sentait qu'on ne les dérangeait pas, qu'ils étaient venus pour passer leur savoir.

Certaines réponses étaient un peu longues et du coup on décrochait un peu.

Ils sont « choux » car ils sont restés ensemble toutes ces années, à vivre et travailler ensemble.

Les élèves du collège Henri Matisse s'expriment sur la rencontre du 22 mars
Les élèves du collège Henri Matisse s'expriment sur la rencontre du 22 mars

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